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2 février 2023 4 02 /02 /février /2023 08:30

Notre plus grand ami est venu nous voir.

Entre amis, on ne se cache rien, et on se dit des choses même si elles fâchent.

Le Secrétaire d'État Antony Bliken d'une façon peu diplomatique a mis sur la place publique:
  1. Le désaccord de l'Administration Obama III avec la refonte du système judiciaire Israélien.
  2. Alors que les occidentaux vont livrer 180 chars lourds à l'Ukraine, il nous demande instamment de livrer de notre côté des missiles anti-missiles.
  3. Respect du Status-quo et blocage des constructions dans la zone C.
  4. Le Mantra habituel de 2 États pour 2 peuples avec l'incitation à discuter.
  5. Des observateurs devraient arriver afin d'évaluer les manquements à la bonne règle édictée par la bien pensance.

Ce genre de discours est digne d'un État colonial à son colonisé assujetti. C'est purement et simplement une intolérable ingérence dans les affaires intérieures d'un pays souverain. Il a été accueilli d'une manière glaciale par les élus israéliens.

L'Ire obamienne.

Ce discours s'apparente à une vengeance de Barak Hussein Obama à l'encontre de Benyamin Netanyahou qui s'était rendu au Congrès à la veille des accord de Vienne, où il avait évoqué le danger iranien d'obtention de l'arme atomique et des vecteurs à même de l'acheminer.

Benyamin Netanyahou avait reçu un accueil délirant avec 50 standing ovations dont certaines de 5 minutes. Nous connaissons la suite de cet accord calamiteux qui a été remis en question par l'Administration Trump, et connaît l'opposition de l'Administration démocrate actuelle.

La réponse d'un électeur israélien.

L'amitié qui unit Israël aux États-Unis depuis 75 ans est incomparable, Après son retrait du Moyen-Orient l'Amérique a laissé à Israël ce rôle, concrétisé par les Accords d'Abraham, Antony Bliken voudrait-il faire les supprimer?

Israël est la seule démocratie du Moyen-Orient, notre ami Antony serait bien inspiré de tourner ses regards sur tous les pays proches ou plus éloignés qui nous entourent.

Ce discours a t-il été écrit par Abou Mazen? On croirait l'entendre.

  1. Avant d'exprimer sa profonde préoccupation sur une réforme nécessaire à une dérive trentenaire (doctrine Barak) de la Cour suprême dont les membres sont cooptés, s'étant arrogé des prérogatives pour une justice partiale. Antony Bliken serait bien avisé de s'inquiéter de la fraude électorale à nulle autre pareille, (de la bouche même de Joe Biden,) ayant permis à une Administration démocrate où siège Alexandria Ocasio-Cortez antijuive notoire, de priver l'électorat américain du résultat du scrutin.
  2. Notre position neutre dans ce conflit nous permet de nous positionner comme médiateur dans ce conflit meurtrier. Livrer des armes nous priverait de cette possibilité. Nos accords avec Moscou nous permettant de bombarder les sites iraniens en Syrie voleraient en éclat si nous livrions des armes. (Ce qu'avait fait le Président De Gaulle en 1967 avec son embargo sur les armes).
  3. Benyamin Netanyahou a rappelé lors de sa récente visite à Aman que le Status-quo ne serait pas remis en cause. Quand aux constructions dans la zone C, elles sont du ressort exclusif du Ministère israélien de la Défense conformément aux lois internationales. Ce qui n'est pas le fait des constructions illégales financées par l'Union européenne.
  4. Alors qu'Israël est en deuil avec les attentats de Jérusalem, dont la responsabilité incombe à Abou Mazen qui refuse de discuter depuis 12 ans, verse des allocations à des familles terroristes, et met en place des livres scolaires financés par l'Union européenne, appelant au meurtre des juifs, qu'un écolier de 13 ans a suivi à la lettre blessant un père et son fils le précédent samedi.
  5. Avant de nous dépêcher des observateurs, censés observer le respect des bonnes règles, notre ami Antony serait bien inspiré de s'occuper des Universités américaines, où les plus grands manquement à la démocratie sont constatés et où un antijudaïsme débridé est la règle.
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20 octobre 2022 4 20 /10 /octobre /2022 18:31
Déclaration  du Docteur Mordehai KIDER qui pendant 25 ans a agit dans les sphères sécuritaires de l'État d'Israël.
 
L'Argent provenant des revenus du Gaz ne tombera pas entre les mains de la faction Hezbollah au Liban. Le premier ministre Lapid n'a cesse de l'affirmer en parlant de cet accord, repris en coeur par l'ensemble de la presse.
 
Faudrait il donc accepter cet accord sans l'approfondir? Le Docteur Kider précise que ces 25 ans de carrière l'ont amené a apprendre parfaitement l'Arabe et donc de lire tous les accords ou écrits qu'ils ont pu émettre.
 
La Société Total, qui gère les recherches, sera appelée a verser les revenus éventuels au trésor Libanais (Lapid se vante d'avoir obtenu des USA que l'argent n'arriverait pas chez Nasrallah).
 
Il n'est de secret pour personne que Nasrallah règne sur les décisions du Liban, et a pour habitude d'aboutir a ses fins. Il est a l'origine de la construction de nombreux immeubles ''civilo- militaire'' explication : il demande ou exige du trésor  Libanais de financer avec les revenus du gaz la construction d'un groupe d'immeubles d'habitation comprenant 4 étages de sous sol permettant le stationnement des véhicules des habitants.
 
Le gouvernement commande donc a différents pays européens les matériaux de construction prouvant au monde la bonne utilisation des ressources du gaz.
 
Le problème c'est que comme a Gaza avec le Hamas, ou a Beyrouth, Nasrallah va occuper les sous sols de ces immeubles neutres pour stocker ses missiles, qui ultérieurement nous seront destinés. Et ce avec l'aval du monde entier y compris notre ''garant américain'' qui se feront une fois de plus gruger par ce fin terroriste.
 
Autre exemple basé aussi sur des faits avérés, Nasrallah aime bien construire des usines de fabrication de missiles et autres engins. Sous couvert d’édifier une entreprise ferronnerie (qui fournirait du travail aux libanais) il va obtenir un terrain proche de Beyrouth et faire financer par le Trésor libanais l’édification de ce complexe (les exemples actuels ne manquent pas).
 
Cet accord ''historique'' si merveilleux, peut nous retomber sur la tête dans un très proche avenir, avec l'aval du Monde, des Usa, et surtout avec notre bénédiction.
 
Sans oublier, l'acteur en coulisse qu'est l'Iran, notre déclaration de faiblesse, ajoutée au mensonge que l'argent du Gaz n'arrivera pas au Hesbollah est un danger énorme pour le pays.
 
L'ancien Ambassadeur des USA en Israël David Friedman a accordé une interview le 16/10 au journal ''Israël ha Yom''.
 
Pour lui les conséquences de cet accord sont désastreuses:
  • Abandon de l'image d’Israël pays fort.
  • Soumission au dictat du Gouvernement Biden.
  • Confiance Aveugle dans la ''protection'' que les USA pourraient apporter en cas de rupture de contrat unilatéral par le Liban, aux termes de l'accord, Israël ne peut se retirer partiellement ou totalement de celui ci.
  • Cette garantie n’étant confirme que par une simple lettre.
  • La concrétisation de cet accord est une victoire de Nasrallah qui sans officiellement faire partie des négociations, a réussi a obtenir qu’Israël cède du terrain, et toutes autres prétentions, ce que le gouvernement Netanyahou pendant 10 ans avait refusé.
Les bases de discussions précédemment engagées étaient de 60% cédés aux Libanais et 40% restants a Israël, ce que Nasrallah refusait (bien qu'officiellement il n'avait pas a être consulté).
 
Grâce aux élections, et avec un interlocuteur débutant (Lapid) non qualifié pour traiter de contrats internationaux puisque depuis la dissolution de la Knesset son action se borne à expédier les affaires courantes, les choses ont bougé.
 
Mr.Friedman déclare que le USA ont exercé une pression inhabituelle sur le gouvernement israélien.
 
Le Président Biden doit redorer son blason pour sa politique intérieure américaine.
 
En tant que citoyen américain il ne comprend pas comment son pays peut octroyer une garantie américaine a Israël compte tenu des précédents, cette garantie est hypothétique, et ne fera qu'engendrer des conflits entre deux pays amis, Israël-USA.
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30 octobre 2012 2 30 /10 /octobre /2012 23:29
Haute trahison à Benghazi
Classé dans: Libye,Présidence Obama,Renseignement,Terrorisme,VIDEOS |

Chaque jour qui passe apporte de nouvelles informations concernant l’attaque terroriste contre le consulat américain de Benghazi. Chaque nouvelle information est plus répugnante que la précédente.

On sait aujourd’hui non seulement que des demandes de moyens de sécurité supplémentaires ont été adressées pendant des mois au Département d’Etat et au Secrétariat à la Défense par l’ambassadeur Stevens, demandes qui n’ont jamais été suivies d’effet, mais on sait qu’au moment même de l’attaque, des emails ont été envoyés en nombre au Département d’Etat et à la Maison Blanche demandant des secours et énonçant explicitement qu’il s’agissait d’une attaque terroriste. Ce qui signifie que les plus hautes instances de décision de l’administration Obama ont su, dès le moment de l’attaque, que celle-ci avait lieu et qu’elle était de nature terroriste.

On sait aussi que des appels téléphoniques ont été passés par deux des quatre personnes tuées à Benghazi pour demander des secours. Ces appels se sont heurtés à des fins de non recevoir.

On sait que ces deux personnes ne se trouvaient pas dans le consulat mais dans un autre bâtiment américain à Benghazi, et ont déclaré leur volonté d’agir pour porter secours à l’ambassadeur Stevens. Ordre leur a été donné de ne rien faire : par qui ? La question reste en suspens pour l’heure, et la réponse n’est pas apportée, mais il faut monter très haut dans la hiérarchie pour espérer la trouver.

Ces deux personnes ont désobéi aux ordres qui leur avaient été donnés et entre la désobéissance à des ordres honteux et l’honneur, ils ont choisi l’honneur, et sont morts, les armes à la main, incarnant ce qu’il y a de plus noble dans les valeurs américaines.

On sait maintenant qu’un drone pourvu de caméras et une connexion aux caméras de surveillance du consulat ont permis d’observer en direct ce qui se passait, et d’entendre cris et vociférations. Et on sait que les images ont été vues et les sons écoutés au Département d’Etat, à la CIA, à la NSA et dans le bureau ovale de la Maison blanche.

On a donc, au plus haut niveau de l’administration Obama vu et entendu l’attaque. Et aucune décision d’action n’a été prise.

Il y avait des unités militaires américaines à Tripoli, et elles pouvaient être à Benghazi en moins d’une heure. Il y avait des unités militaires américains sur une base de l’OTAN en Sicile, et elles pouvaient elles aussi être à Benghazi en une heure, peut-être moins.

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Il est bien davantage qu’improbable que Barack Obama n’ait pas été au courant. Il est aussi bien davantage qu’improbable qu’il ait été étranger aux ordres donnés.

Donc : le Département d’Etat et la Secrétaire d’Etat Hillary Clinton, le Secrétariat à la Défense et le Secrétaire à la Défense Leon Panetta, le directeur de la CIA, le général Petraeus, Barack Obama lui-même, ont su dès le 11 septembre au soir qu’il s’agissait d’une attaque terroriste.

Ils sont restés sourds aux appels au secours. Ils ont donné des ordres de non intervention. Ils ont assisté à l’assassinat de quatre personnes dont l’ambassadeur Stevens par des terroristes islamiques, en spectateurs.

Barack Obama n’a sans doute pas suivi le spectacle jusqu’au bout, ou il a suivi la suite à bord de l’avion présidentiel, puisqu’il est parti le soir même pour Las Vegas. La mort de quatre citoyens américains sous ses yeux et dans le cadre de non assistance à personnes en danger ne l’a pas empêché de continuer sa campagne et ne lui a pas fait perdre son sourire ni le goût pour des émissions comiques.

Quand les corps des assassinés ont été ramenés aux Etats-Unis, ni Hillary Clinton ni Barack Obama n’ont parlé d’attaque terroriste et ils se sont contentés de paroles générales. Leur attitude vis-à-vis des familles des assassinés a été froide et distante, de l’aveu même des membres de ces familles.

Dans les jours qui ont suivi et pendant deux semaines, toute l’administration Obama a parlé d’une attaque spontanée due à une video de treize minutes et ont incriminé la liberté de parole existant aux Etats-Unis, allant même jusqu’à acheter des espaces publicitaires à diverses chaînes de télévision de pays musulmans pour présenter leurs excuses. Obama a osé incriminer la video lors d’un discours devant l’Assemblée générale des Nations Unies.

Il a fallu que des documents confidentiels soient transmis aux médias montrant qu’il s’agissait d’une attaque terroriste pour que l’administration Obama reconnaisse qu’il s’agissait bien d’une attaque terroriste. Une Commission d’enquête a été mise en place à la Chambre des représentants, une autre va se mettre en place au Sénat : les témoignages ont commencé, et ils sont accablants pour l’administration Obama.

Il y a quelques jours, on pouvait encore parler d’une opération concertée de dissimulation des faits et de mensonge devant le peuple américain et devant le monde, ce qui était en soi, déjà , très grave, bien plus grave que le Watergate, comme je l’ai déjà écrit.

On est maintenant bien au delà d’une opération de ce genre. Quatre hommes ont été assassinés dans un cadre où la décision de ne pas leur porter secours a été prise. Une décision de ce genre relève de la complicité d’assassinat. Plusieurs personnes, au plus haut niveau de l’administration Obama, se sont rendues coupables de complicité d’assassinat tout en étant spectatrice de l’assassinat.

Je ne pensais pas que j’assisterais un jour à pareille insanité. Je croyais avoir tout vu de la part d’Obama et de l’administration Obama, mais là, je suis sans voix.

Un commentateur disait récemment qu’Obama devrait démissionner et renoncer à se présenter aux suffrages de ses concitoyens. Ce serait la seule attitude digne. Mais Obama n’est pas un homme digne.

Si, comme je l’espère, il est battu le 6 novembre, je pense que l’affaire ne devrait pas en rester là, et je pense que l’enquête devrait se poursuivre. Plusieurs membres de l’administration Obama, jusqu’au plus haut niveau, devraient avoir à répondre de leurs actes devant la justice.

Je ne peux concevoir qu’Obama puisse être réélu, et le fait qu’il puisse encore l’être montre qu’il y a aujourd’hui quelque chose de pourri dans un pays que j’aime pourtant plus que tout. La pourriture est au sein de l’administration Obama : c’était flagrant avant. Cela l’est encore davantage aujourd’hui. La pourriture est au sein des grands médias américains qui essaient de parler aussi peu que possible de tout cela : la déontologie journalistique semble préoccuper peu de journalistes des grands médias américains aujourd’hui.

Si Obama est réélu, un congrès républicain, et si les Républicains emportaient une courte majorité au Sénat, ce qui reste possible, devrait demander l’empêchement de Barack Obama. Une procédure d’empêchement peut être déclenchée pour bien moins que tout cela.

D’autres détails sont susceptibles d’émerger : il semblerait que le consulat de Benghazi servait à des transactions de fourniture d’armes par l’administration Obama à des groupes djihadistes liés à al Qaida et agissant en Libye, en Syrie et ailleurs. L’hypothèse d’une transaction entre des chefs dihadistes et l’ambassadeur Stevens qui aurait mal tourné circule. Cette hypothèse semble fondée, mais j’attends d’en savoir davantage pour en parler plus précisément.

Le New York Times, qui n’est pas un journal hostile à Obama, a publié récemment des articles évoquant la transmission d’armes américaines à al Qaida en Syrie.

Je suis sans voix, disais-je plus haut. J’ai la nette impression d’être face à un cas de haute trahison. La haute trahison vient de la Maison Blanche. Elle implique désormais l’ensemble des plus hautes sphères de l’administration Obama. C’est sans précédent.

Parce que j’aime les Etats-Unis, je souhaite plus que jamais qu’une administration digne de ce nom arrive aux affaires le plus vite possible.

Je souhaite que tout soit élucidé, et si le nom de Barack Obama devient alors synonyme d’infamie, je pense que ce sera amplement mérité.

J’espère qu’un hommage plus net sera rendu aux assassinés de Benghazi. L’ambassadeur Stevens, quelle qu’ait été sa mission, était ambassadeur des Etats-Unis. Les trois autres assassinés servaient leur pays. Ils ont été abandonnés de manière lâche. Ils se sont battus pendant sept heures contre des assaillants mieux armés et supérieurs en nombre. Ce sont des héros, des hommes qui appartenaient à l’Amérique que j’aime et qui incarnaient ce que j’aime en Amérique, et qu’Obama foule aux pieds chaque jour. Qu’ils reposent en paix. Tyrone Woods et Glen Doherty sont les deux hommes qui ont désobéi et choisi l’honneur. Sean Smith était le troisième homme, et il s’est battu avec courage lui aussi. Chris Stevens servait son pays.

Je l’écris avec tristesse et révolte : je ne peux en dire autant de Barack Obama.

Je n’ai, à ce jour, pas vu un seul élément de cette affaire évoqué dans les médias français. Un seul article l’évoque : il est publié sur le site de l’Express et vient du magazine en ligne américain de gauche Slate. L’article laisse de côté 99,9% de l’affaire.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Guy Millière pour www.Dreuz.info

PS Il s’avère que Tyrone Woods et Glen Doherty travaillaient pour la CIA. L’ordre de ne rien faire qui leur a été donné n’a pas été donné par le général Petraeus, qui vient de faire savoir que personne à la CIA n’avait donné d’ordre de ce genre. La CIA ne dépendant ni du Département d’Etat ni du Secrétariat à la Défense, il reste une seule personne susceptible d’avoir donné cet ordre, Barack Obama lui-même. Et il reste une seule personne ayant pu, en ce contexte, donner ensuite un ordre de non intervention : Barack Obama lui-même. Cette déduction est aujourd’hui celle de Roger Simon de pjmedia (pjmedia.com/), et celle de Bill Kristol du Weekly Standard (weeklystandard.com).

Des gens demandant des références, j’en donne ici quelques unes de plus (liste non exhaustive) :

http://www.americanthinker.com/2012/10/they_fought_for_their_lives.html

http://www.nationalreview.com/corner/331125/first-aid-living-bing-west

http://pjmedia.com/tatler/2012/10/24/secretary-of-state-clinton

http://video.foxnews.com/v/1920570366001/new-information-on-benghazi/

http://www.independentsentinel.com/2012/10/predator-drone-watched-benghazi-attack

http://www.radicalislam.org/analysis/

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26 août 2012 7 26 /08 /août /2012 18:31
Je viens de créer une nouvelle catégorie "Elections Présidentielles USA" bien que nous ne soyons pas appelés à voter, l'Election Présidentielle aux Etats Unis a toujours une implication en Israël.

Eli LAIK

 

 

Classé dans: Election US 2012,Etats Unis,Présidence Obama |

Je publierai ici dimanche un article faisant la synthèse des livres parus sur Obama ces dernières semaines aux Etats-Unis.

Je publierai ensuite une présentation de mon prochain livre, Le désastre Obama, qui sera en vente à partir du 30 août, et qui pourra exister grâce à Jean Robin d’Enquêtes et Débats, directeur des éditions Tatamis. Si vous êtes surpris que le seul livre documenté, factuel, précis, et nécessairement critique des années Obama ne soit pas publié par un grand éditeur, c’est que vous n’avez pas encore pris la mesure du totalitarisme soft qui s’est installé en France. Si les débats en France cet automne sur les élections présidentielles américaines ont lieu entre fans d’Obama et simples admirateurs d’Obama, avec de temps à autres pour pimenter la discussion des amoureux déçus d’Obama, je serai surpris : et je suis prêt à lancer un défi aux animateurs de ces débats. Surprenez-moi ! Faites preuve d’un minimum d’ouverture d’esprit ! Je crains de n’être pas surpris.

En parallèle à la présentation de mon propre livre, je rendrai compte de la convention républicaine qui va s’ouvrir. Et je pense, en le regrettant, que je serai dans le monde francophone, la seule source d’information ni biaisée sur cette convention.

Ces derniers temps, les médias français se sont intéressés aux feuilles d’impôts de Mitt Romney, dont le passé est limpide, et qui vit des revenus de ses placements et paie donc environ 13% d’impôts, ce qui est pleinement légitime puisqu’il s’agit de revenus d’un argent épargné qui a déjà été imposé : en France, on raisonne comme chez Obama, on envie celui qui fait fortune et qui investit et on rêve sans doute d’un monde où il n’y aurait plus d’investisseurs, sinon le gouvernement.

Mais les médias français ne se sont pas intéressés à l’opacité qui entoure TOUT le passé d’Obama avant qu’il entre à la Maison Blanche.

Les médias français se sont intéressés aux déclarations ineptes d’un candidat républicain à un siège de sénateur du Missouri, Todd Akin, et en ont fait sans la moindre base, et comme l’équipe Obama, l’incarnation des positions du ticket Ryan Romney sur la question, ce bien que ce candidat ait été aussitôt désavoué par le parti républicain.

Et ils ne se sont pas intéressés aux déclarations d’Obama s’affirmant favorable à l’avortement au troisième trimestre de grossesse, soit aux septième, huitième et neuvième mois (si on ne peut avorter au neuvième mois, où serait la liberté, dites-moi ?).

Les médias français ont, comme l’équipe Obama, présenté Paul Ryan comme un extrémiste de droite et ont copieusement relayé le contenu des plus immondes annonces diffamatoires venues du camp Obama.

Mais ils se sont montrés d’une discrétion exemplaire concernant les innombrables affaires de corruption et de détournements de fonds de la part de l’administration Obama, concernant l’inculpation d’Eric Holder, ministre de la justice, pour « obstruction à la justice » dans une affaire de vente d’armes à un cartel de la drogue mexicain, ou celle de Janet Napolitano, pour discrimination en faveur de femmes homosexuelles très proches d’elle, vraiment très proches.

Les médias français ont relayé les « rumeurs », infondées, colportées par Harry Reid concernant le fait que Romney serait un « fraudeur » (Reid ne peut pas être attaqué en justice car il a fait ces déclarations au sein du Sénat, en sa position de chef de la majorité démocrate dans cette institution).

Mais ils ne se sont pas intéressés du tout au fait qu’Harry Reid a fait l’objet d’enquêtes diverses dans le passé pour des actes de fraude fiscale.

Plutôt que lire la presse française sur la campagne, en fait, je conseillerais d’aller sur les sites de la campagne d’Obama : la désinformation est la même, et en allant directement chez Obama, on sait d’où elle vient.

Je rendrai compte aussi, bien sûr, de la convention démocrate. Et je dois dire que même en faisant preuve des plus grands scrupules, je m’attends à ce que celle-ci soit très haute en couleurs.

L’orateur vedette sera Bill Clinton, l’homme qui pestait contre la malhonnêteté crasse d’Obama en 2008, et qui est aujourd’hui appelé à la rescousse pour présenter un deuxième mandat d’Obama comme un troisième mandat d’un homme appelé Bill Clinton : le bilan d’Obama est tellement nul, et les projets d’Obama tellement inquiétants (j’y reviens demain) que se réclamer du bilan de Bill Clinton, qui n’est plus président depuis douze ans, et présenter le projet d’Obama II comme une sorte de projet de Clinton III est la solution choisie. Remarquable ! Et après, il faudrait penser qu’Obama ne prend pas les électeurs pour des imbéciles !

Un autre orateur vedette sera Jimmy Carter : oui, le Jimmy Carter qui a installé les ayatollahs au pouvoir en Iran, qui trouve le Hamas très fréquentable et Hugo Chavez si sympathique.

On entendra aussi Sandra Fluke, l’ »étudiante » qui a de gros besoins sexuels et qui défend tout à la fois l’avortement au troisième trimestre de grossesse et la nécessité de voir promulgué l’Obamacare aux fins que ses besoins de contraception, qu’elle a évalué à 10 000 dollars par an, soient couverts (quand on connaît le prix des préservatifs à l’unité et celui des pilules contraceptives aux Etats Unis, on se dit qu’elle a vraiment de très gros besoins : en plus de la pilule, cinquante préservatifs par jour ? soixante ?).

On fera une petite place aux « rabbins pour Obama », censés permettre à celui-ci de paraître ami avec la communauté juive et proche d’Israël, et on tentera de faire oublier ce que William Kristol a souligné dans un communiqué de l’Emergency Committee for Israel, que parmi les rabbins en question figurent des dirigeants du mouvement BDS (Boycott, Divest Sanction) radicalement hostile à Israël, et dont les positions sont celles du mouvement Europalestine en France, mais aussi les fondateurs et dirigeants d’un mouvement de soutien au Hamas appelé « Fast for Gaza », des membres du groupe Neturei Karta, qui aiment tant fréquenter le sympathique Mahmoud Ahmadinejad, un grand ami des Juifs du monde entier, comme on le sait, et une dizaine des dirigeants du groupe Jewish Voice for Peace que l’Anti-Defamation League (pourtant proche des Démocrates), a classé, en compagnie du Council on American-Islamic Relations, branche américaine des Frères musulmans, ou de la Muslim American Society, parmi les principaux groupes radicaux anti-Israéliens aux Etats-Unis. Que voilà de beaux rabbins ! Que voilà de quoi rassurer les Juifs américains inquiets des positions anti-israéliennes d’Obama !

Comme si tout cela ne suffisait pas, vingt mille musulmans sont attendus à la convention démocrate, à l’invitation du Bureau of Indigenous Muslim Affairs (BIMA). Des conférences seront organisées portant sur la montée de l’islamophobie aux Etats-Unis, sur les discriminations subies par les Musulmans dans le pays, sur la nécessité pour ceux-ci de soutenir Barack Obama, un homme qui « comprend » l’islam. L’organisateur de ces belles festivités islamiques est un certain Jibril Hough, directeur du Centre islamique de Charlotte, président du BIMA. Le centre islamique de Charlotte est financé par le North American Islamic Trust, poursuivi en justice pour avoir financé le Hamas (les poursuites ont été arrêtées grâce à un certain Eric Holder). Le « grand imam » qui supervisera l’événement est Siraj Wahhaj, islamiste bien connu.

Obama comprend l’islam sans aucun doute, et les démocrates sont ouverts, très ouverts. Ils sont ouverts jusqu’à l’islam radical.

Un deuxième mandat d’Obama serait incontestablement remarquable. Et je comprends que tant de gens dans les médias français souhaitent avec ardeur la réélection de l’actuel occupant de la Maison Blanche. Je leur propose un cri du cœur, si, par malheur, Obama est réélu : Obama Akhbar. Ce qui signifie en arabe : Obama est le plus grand. Mais ai-je besoin de faire la traduction ? Ceux qui soutiennent Obama sont déjà très intégrés à leur culture et à leur religion préférées.

Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Guy Millière pour www.Dreuz.info

PS J’ai placé en illustration l’affiche invitant à Jumah at the 2012 DNC. Le Jumah est la prière de midi le vendredi, prière que tous les Musulmans pieux doivent respecter. Comme il se doit, la partie musulmane de la Convention démocrate commencera le vendredi 31 août à midi. La prière de Jumah sera précédée par un sermon. De Siraj Wahhaj, bien entendu.

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