En avant première du débat, nous avons eu droit à un interview de Ségolène ROYAL, à la question quelle est la meilleure qualité de François HOLLANDE et quel est son plus gros défaut ? Elle a répondu qu’il n’avait que des qualités.
Voir 0 mn 28 et 0 mn 39. Mais pendant 1 mn 05 c’et très bien également.
Tou au long des 2 heures 40, le tirage au sort a déterminé que François HOLLANDE devait démarrer alors que Nicolas SARKOSY aurait la faveur de la dernière parole.
François HOLLANDE à chaque question après avoir interrompu Nicolas SARKOSY, reprenait la parole afin de clôturer le débat, et le modérateur avait beaucoup de mal à le contenir dans les règles énoncées au début du débat. François HOLLANDE a eu la parole 78 minutes, au cours desquelles il a énoncé de nombreuses contre vérités, que Nicolas SARKOSY a relevées ponctuellement.
Pendant les 78 minutes de parole de Nicolas SARKOSY, François HOLLANDE n’a eu de cesse de l’empêcher de parler selon la triste habitude de tous les Eléphants du parti socialiste qui coupent la parole à leur interlocuteur dans le but de le déstabiliser, de lui faire perdre le fil de son exposé, et lui faire perdre du temps de parole.
Nicolas SARKOSY imperturbable a continué sur le même ton, sans élever la voix tel qu’il l’avait déjà fait avec Ségolène ROYAL qui s’était emportée.
François Hollande a terminé en disant qu’il serait le Président du changement, qu’il serait … Nicolas SARKOSY lui a répondu qu’il définissait un homme normal, que la France avait besoin d’un Président exceptionnel.
Puis il a exposé ses réalisations en prenant à) contre pied François HOLLANDE dans toutes ses allégations en vue de brocarder le Président.
Ce que François HOLLANDE a omis de nous dire dans sa longue énumération:
Moi, Président de la République, je ruinerai la France,
Voici ce que n'a pas dit François Hollande hier. Tout est vrai. Vous pouvez lire les liens pour vérifier les informations données.
Diffusez ce texte à vos amis avant le 6 mai.
Moi, président de la République, je ruinerai la France, comme je l’ai déjà fait avec la Corrèze, dont la dette a explosé au cours de mon mandat.
Moi, président de la République, comme je l’ai fait pendant 10 ans à la tête du PS, je protégerai tous mes amis mis en examen et condamnés par la justice.
Moi, président de la République, je donnerai le droit de vote aux étrangers pour compenser la perte de l’électorat populaire. (Signez la pétition contre le droit de vote des étrangers)
Moi, président de la République, je fermerai les yeux sur les turpitudes sexuelles de DSK, comme je l’ai déjà fait dans le passé (affaire Tristane Banon).
Moi, président de la République, je serai obligé de faires des cadeaux aux 700 imams et à Tariq Ramadan qui ont appelé à voter pour moi. Il faut savoir remercier ses amis.
Moi, président de la République, je régulariserai les clandestins, comme me le demande mes alliés Mélenchon et Joly. Cela fera toujours quelques électeurs socialistes en plus.
Moi, président de la République, je créerai 60 000 postes de fonctionnaires en plus dans l’éducation nationale, même si je n’ai jamais su calculer combien cela coûtait !
Moi, président de la République, je ferai du cynisme une vertu politique, comme mon maître François Mitterrand l’a fait avant moi en roulant tous les Français dans la farine, y compris les électeurs de gauche.
Moi, président de la République, j’irai dire aux dirigeants chinois tout ce que j’ai sur le cœur, mais comme ils ne me recevront pas, comme ils l’ont déjà fait avec mon émissaire Laurent Fabius, je rentrerai bredouille, mais cela m’aura permis de faire une belle balade aux frais des contribuables.
Moi, président de la République, je laisserai mes conseillers en sécurité confortablement installés dans leur gros fauteuil, critiquer les policiers du RAID qui risquent leur vie sur le terrain.
Moi, président de la République, je me présenterai comme le candidat du rassemblement, ce qui ne m’empêchera pas de dire que je n’aime pas les riches, et de laisser mon porte-parole traiter les électeurs du FN de xénophobes.
Moi, président de la République, je me lancerai dans une grande chasse aux sorcières pour mettre au placard tous les hauts fonctionnaires qui ont travaillé avec la droite, je demanderai également la tête des journalistes de droite, comme Etienne Mougeotte, a qui j'ai refusé une interview.
Enfin, à nous de faire en sorte, que le 6 mai, François Hollande ne soit pas Président de la République.
Eli LAIK
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